Parti Pirate France 

Propriété du Perçu
addendum à Objectivation des choses / La base du propriétarisable

 

RÉSUMÉ AUDIO

 


un peu plus de détail/renseignement
pour compléter la série d'image/références de la page précédente 

               

 

 

La description de circuit neuronaux, chiffrant des ombres comme des formes, a été exploité des les premières années des recherches de Freud, pour rationaliser les bases et la praticabilité d'une analyse du psychisme. (le fait d'analyser le psychisme veut dire de connaître le 'moi', c'est à dire élucider nos croyances et contrôler nos dérives). L'entreprise mérite d'être bien précisée.  :


 fig.10


 fig.20


 fig.30

Le schéma de Freud fig.10 se calque effectivement sur le modèle cybernétique - appliquons une rotation fig.20 au schéma et on disposera ses composants fig.30 de sorte qu'en rouge, ses divers associations & points ("organe terminal", "monde extérieur", "groupe psychique", "objet sexuel" etc..) soient reconnaissables sur une représentation dédoublée fig.40  comparable par superpostion au modèle cybernétique fig.50 .


 fig.40


 fig.50

A l'origine de la psychanalyse, Freud élabore des schémas
représentant graphiquement des circuits neuronaux

(ci-dessus  fig.10 1985 - repris 1905).

Ultérieurement Lacan fera remarquer que ces circuits, par stimulations et sensations, engagent, par certains de leurs éléments, les sphincters de l'organisme. C'est par des orifices (pupille, oreille, trachée, pylore etc..) que l'organisme tire sa connaissance des choses. Les choses (images, sons, aliments, excréments etc..) ne sont jamais connues directement (sauf par une ultime identification - nirvana, par exple - qui n'est envisagée qu'à la fin du processus) - inversement les sphincters sont les "compteurs" essentiel du processus cybernétique neurologiquement décrit.

 


encore un peu plus de détail/renseignements

   La page précédente a exposé le processus de mémoire, qui caractérise ces enregistrements d'activités sphinctériennes aboutissant à la constitution neurologique d'objets (et par conséquent d'objets propriétarisables). La page actuelle précise le type de média - sphinctériens - en cause dans lesdits processus. Il reste encore une précision à ajouter - car somme toute, jusqu'à présent, rien de spécifiquement "freudien" n'a été encore déclaré (ces deux pages, de fait, n'ont parlé que de neurosciences que Freud a pratiquées comme quiconque l'aurait fait et, si elles décrivent une psychanalyse, elles n'ont pas précisé quels sont les caractères freudiens de ladite «Psychanalyse»). La particularité "freudienne" de la cybernétique des neuroscience se trouve dans le positionnement de la sexualité que Freud y désigne. Ajoutant cette dernière précision, on peut suivre un chapitre intitulé "De la PSYCHOLOGIE à la PSYCHANALYSE", qui attache le rôle propre de la psychanalyse dite "freudienne" aux Synapses et Cortex en psychanalyse lien sur eBook.